Margaret Bourke-White Art

Largeur
0 sélectionnés Réinitialiser
Hauteur
0 sélectionnés Réinitialiser
Matériel
0 sélectionnés Réinitialiser
Filtrer et trier

Filtrer et trier

Affichage de 1 produit sur 1

Largeur
Hauteur
Matériel

Qui était Margaret Bourke-White Art ?

Margaret Bourke-White est née à New York le 4 novembre 1904 et est décédée à l'âge de 67 ans, le 27 août 1971. Le style de peinture de Bourke-White est décrit comme du photojournalisme, car elle prenait des photos tout en rendant compte de différents événements ou lieux dans le monde.

Le style de Bourke-White a été influencé par son séjour à l'université de Columbia, où elle a étudié avec Clarence White. Elle s'est mise à la photographie à l'âge de 13 ans et a commencé à travailler en tant que pigiste peu après avoir obtenu son diplôme universitaire en 1925. Elle est devenue photographe du Detroit News en 1928, où elle a travaillé jusqu'en 1935.

Elle est réputée pour son travail en noir et blanc et surtout pour ses photographies de la construction de l'Empire State Building. Bourke-White a été la première photographe étrangère à photographier la révolution russe, et ses photos de l'Inde sont encore utilisées aujourd'hui comme référence pour de nombreuses publications.

Le style de Margaret Bourke-White Art

Le travail de Margaret Bourke-White se concentrait sur l'impact de la technologie sur la vie américaine - elle était particulièrement intéressée par la façon dont la photographie pouvait être utilisée pour capturer des moments comme ceux-ci. Cet intérêt fait d'elle l'une des premières photojournalistes à utiliser son appareil photo comme un outil artistique plutôt que comme un simple moyen d'enregistrer des événements.

Les photographies de Bourke-White sont connues pour leur netteté, qui leur confère une qualité presque tridimensionnelle. Ses images comprennent souvent des personnes ou des objets disposés de manière à donner l'impression qu'ils interagissent les uns avec les autres. Ce style de composition était très différent de celui des photographes précédents, comme Alfred Stieglitz, qui s'attachaient à capturer des moments plutôt qu'à mettre en scène des situations.